[Critique] – Paddington

Synopsis
Paddington raconte l’histoire d’un jeune ours péruvien fraîchement débarqué à Londres, à la recherche d’un foyer et d’une vie meilleure. Il réalise vite que la ville de ses rêves n’est pas aussi accueillante qu’il croyait. Par chance, il rencontre la famille Brown et en devient peu à peu un membre à part entière.

L’histoire de Paddington débute dans la forêt péruvienne. L’ourson vit avec son oncle et sa tante, tout y est tellement bien mais un jour un terrible accident arrive et contraint Paddington de trouver une famille.
Il débarque alors à Londres, il ne connait personne mais on lui à toujours dit qu’a Londres les gens sont accueillant, gentil, souriant… et ce n’est malheureusement pas le cas. Il essaie tant bien que mal de s’adresser aux gens en leur disant qu’il cherche une famille mais en vain. L’aventure dans la jungle Londonienne commence…

C’est alors que la famille Brown fait son apparition ! Le père Henry Brown (joué par Hugh Bonneville) voit au loin cet ourson et demande à sa famille de ne pas prêter attention à cet animal… mais ça ne sera pas le cas de sa femme Mme Brown (joué par Sally Hawkins) qui va se prendre d’affection pour Paddington et va dans un premier temps l’accueillir une nuit chez eux.

Le père n’est pas de l’avis de garder Paddington qui y voit un danger (oui, Mr Brown travaille dans les assurances et pour lui avoir un ours chez soi n’est pas la meilleure chose qui soit…) et il n’a pas tord ! Inondation, incendie… tout y passe mais comment peut on en vouloir à ce petit ourson maladroit ? Il nous suffit de quelques secondes pour lui pardonner ses actes qui souvent résultent d’un enchainement improbable qui à été au départ maladroit.

Mais Paddington est en danger, c’est alors qu’on découvre Millicent (joué par Nicole Kidman) une taxidermiste redoutable qui ne reculera devant rien pour posséder Paddington et l’empailler…  Son rôle me rappelle celui de Marisa Coulter dans le film « A la croisée des mondes : la boussole d’or« .

Cet ourson n’a pas finit de vous attendrir dès que vos yeux se poserons sur lui, certes maladroit mais terriblement touchant. C’est une belle morale que nous avons dans ce film, celle de la différence ! Avoir un ourson chez soi n’est pas chose commune, et pourtant il en devient un membre à part entière. Et enfin l’humour et cette touche « So-British » font de ce film une belle réussite. Alors si un jour vous croisez un ourson, offrez lui de la marmelade et il pourrait devenir un très bon compagnon, mais attention aux gaffes :p