[Critique] – Jurassic World

L’Indominus Rex, un dinosaure génétiquement modifié, pure création de la scientifique Claire Dearing, sème la terreur dans le fameux parc d’attraction. Les espoirs de mettre fin à cette menace reptilienne se portent alors sur le dresseur de raptors Owen Grady et sa cool attitude.

Dans ce 4ème opus de la saga Jurassic, vous allez découvrir un parc qui cette fois ci fonctionne parfaitement ou les gens affluent pour admirer ces bêtes autrefois disparues.

Le Parc affiche complet et c’est plus de 20000 visiteurs par jours. Une bien belle réussite !
On plonge dans un scénario captivant emplit de référence au premier opus et quel plaisir.

Alors je dois toutefois préciser qu’il ne s’agit ici aucunement d’un hommage et ça Colin Trevorrow nous l’a bien expliqué lors de la conférence de presse.

Tout se passe bien ? Oui peut-être un peu trop…

Pour garantir encore plus de frisson, le propriétaire des lieux qui n’est autre que Simon Masrani (interprété par Irrfan Khan) ainsi que les chercheurs du Parc et plus particulièrement le Docteur Henry Wu (interprété par B.D. Wong) ont eu l’idée de créer un nouveau dinosaure afin de garantir l’effet « WAHOUUUU » (comme les crêpes).

Vous vous en doutez bien et d’ailleurs la bande annonce vous le dévoile, les choses ne vont pas se passer comme prévu et l’Indominus Rex va s’échapper de sa forteresse.

Le Parc est dirigé par la sublime Claire Dearing (interprété par Bryce Dallas Howard), une femme très (même trop) occupée par son travail et met le reste de côté y compris sa famille… c’est d’ailleurs ce que lui reproche sa sœur.

Pour arranger les choses, elle décide d’inviter ses deux neveux à venir séjourner au Parc en espace VIP.

Le plus jeune, Gray Mitchell (interprété par Ty Simpkins) connait tout des dinosaures et est un vrai passionné… quand à son frère Zach Mitchell (interprété par Nick Robinson) qui y voit là l’opportunité de glisser quelques regards à certaines jeunes filles et quand ce n’est pas le cas il à ses yeux rivé sur son smartphone. Aaaah la jeunesse !

À leur arrivée, ils sont accueillis par leur tante Claire mais celle ci à bien trop de travaille pour rester avec eux, c’est donc son assistante qui sera en charge de les accompagner et de les surveiller dans le Parc… mais vous imaginez bien que la joie n’est pas au rendez-vous et vont tout faire pour semer l’assistante.

À côté de ça on découvre Owen Grady (interprété par Chris Pratt) qui apporte une bonne touche d’humour propre au personnage qu’on connait s’y bien s’occupe des vélociraptors et je dois dire qu’à ce propos en voyant les bandes annonces j’avais beaucoup d’appréhension.

On le voit dompter ces bêtes redoutable, le côté apprivoisé me dérangeait beaucoup.

Mais il ne s’agit pas réellement d’apprivoisement, plus d’un lien, une relation avec l’animal.
Et à côté de lui, en tant qu’assistant, Barry (interprété par Omar Sy) n’a pas un rôle primordiale, et le côté frenchy ressort pour les quelques fois où il s’exprime en français.

Par la suite on apprend que l’Indominus Rex à développé certaines capacités résidant dans la manière dont il a été crée.

À la suite de son évasion, le Parc ferme certaines sections au public afin de les confiner et les garder en sécurité. Pendant ce temps là, Gray et Zach on eu l’idée de profiter librement et même d’en sortir… jusqu’au moment où ils vont tomber nez à nez avec l’Indominus Rex 😉

Jurassic World vous donne rendez-vous demain, Mercredi 10 Juin dans vos salles de cinéma ! Alors prêt à frissonner ?