Le mois d’août s’est terminé avec Kin : Le Commencement. Et comme vous pouvez le lire, ce n’est que le début de son existence, mais vaut-il le détour ?
SYNOPSIS
Eli, jeune adolescent de Detroit, erre dans une usine désaffectée où il découvre par hasard une arme surpuissante, d’origine inconnue, qu’il ramène chez lui. Mais passé l’amusement, Eli réalise qu’on ne soustrait pas impunément une arme aussi redoutable : il se retrouve recherché par des criminels, par le FBI, et par ceux qui semblent être les propriétaires légitimes de l’arme futuriste. Accompagné de son grand frère et d’une jeune danseuse, Eli n’a d’autres choix que de fuir, emportant avec lui un seul bagage : cette mystérieuse arme…
Et bien… Oui, si vous n’avez rien d’autre à voir.
La science-fiction est un des genres les plus exploités du cinéma actuel, et Kin : Le Commencement est ancré dans un cadre réaliste avec un petit bout de science-fiction qui deviendra probablement majeur par la suite.
On est diverti devant ce film et on passe un moment plutôt correct. La science-fiction tourne ici essentiellement autour de l’objet principal du film qui est le pistolet, et pourtant, c’est la déception du film puisqu’il est simplement introduit sans un réel approfondissement (des éléments par-ci, par-là pour la suite).
Et le deuxième élément qui entoure le film est la famille, et cette relation entre les deux frères est abordée en surface, sans faire place à de réelles émotions (comme l’oubli rapide du père).
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UN FILM DIVERTISSANT
L’intérêt que l’on porte à la fin du film est probablement ce qui le rend divertissant, tout comme cette séquence d’action finale jouissive. On prend plaisir à voir Zoé Kravitz et James Franco, mais le jeu d’acteur de Myles Truitt laisse à désirer.
C’est sans aucun doute un film qui est sur un fil, penchant vers la droite et la gauche, ne plongeant ni dans le mauvais ni dans le bon. Sans oublier les dialogues sans cesses bancals, n’apportant rien aux personnages et à leur évolution.
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EN BREF…
Kin : Le Commencement est un film auquel on peut laisser sa chance, surtout dans le but d’être introduit à un univers que l’on découvrira une prochaine fois.
19 ans, étudiant en cinéma, fan de cinéma et de séries, « Her » le meilleur des films!
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