Michael Banks travaille à la banque où son père était employé, et il vit toujours au 17 allée des Cerisiers avec ses trois enfants, Annabel, Georgie et John, et leur gouvernante Ellen. Comme sa mère avant elle, Jane Banks se bat pour les droits des ouvriers et apporte son aide à la famille de Michael. Lorsque la famille subit une perte tragique, Mary Poppins réapparaît magiquement dans la vie de la famille. Avec l’aide de Jack, l’allumeur de réverbères toujours optimiste, Mary va tout faire pour que la joie et l’émerveillement reviennent dans leur existence… Elle leur fera aussi découvrir de tout nouveaux personnages plein de fantaisie, dont sa cousine, l’excentrique Topsy.
Le Retour de Mary Poppins, réalisé par Rob Marshall, fait suite au film culte sorti en 1964.
La nounou version 2018, interprétée par Emily Blunt, est toujours aussi magique.
Nous retrouvons 25 ans plus tard, la famille Banks ; Jane et Michael ont grandi. Lui vit toujours à Londres, dans la maison de Cherry Tree Lane avec ses trois enfants et leur gouvernante Ellen.
La famille connaît une situation compliquée suite à la perte d’un être cher mais heureusement, Mary Poppins décide de leur rendre visite et de redonner le sourire à tout le monde.
La nurse et les trois enfants sont accompagnés dans leurs escapades étonnantes par Jack, un falotier sympathique et rêveur.
Emily Blunt, fraîche et pétillante, reprend le rôle de l’héroïne Disney avec brio plus de 50 ans après Julie Andrews
Elle est accompagnée de Ben Whishaw dans le rôle de Michael Banks, qui travaille dans la même banque que son père et Emily Mortimer dans celui de sa sœur Jane, engagée dans la cause ouvrière, comme sa mère.
L’allumeur de réverbère, Jack, est incarné par Lin-Manuel Miranda. Ce personnage rappelle celui de Dick Van Dyke qui tenait le rôle du ramoneur dans le premier film mais aussi celui de Mr Dawes.
Colin Firth obtient le rôle du banquier véreux tandis que Meryl Streep devient la cousine loufoque de Mary Poppins pour nous enchanter un peu plus. Et pour les plus nostalgiques, Dick Van Dyke fait aussi une petite apparition .
Après Robert Stenvenson , Rob Marshall donne une suite à ce film mythique, adapté du livre de Pamela L. Travers.
Tout est fait pour ravir les petits comme les grands. Le réalisateur mêle comédie musicale et rêve avec succès et magie.
Il nous offre un voyage en enfance en utilisant une technique que l’on avait pas vu depuis longtemps ; des images d’animation se mêlent à des prises de vue réelles. Cette fois les enfants et leur nounou ne plongent pas dans un dessin à la craie mais dans une poterie et vont y rencontrer de nouveaux personnages.
La musique, signée Marc Shaiman, reste entraînante malgré quelques longueurs qui pourraient déstabiliser les plus grands. Mary Poppins, n’a pas pris une ride et devrait encore marquer les esprits.
Pour un peu de magie, une pointe de douceur et beaucoup d’émerveillement, rendez-vous le 19 décembre pour Le retour de Mary Poppins.
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